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    Les Chroniques des Ravens est une série de fantasy écrite par James Barclay. Il s'agit de la première des deux trilogies qui racontent l'histoire d'une bande de mercenaires, les Ravens. Ce groupe lié par l'amitié et un simple mais solide code de l'honneur est devenu spécialiste dans l'art de la guerre. L'histoire se déroule sur Balaia, un continent coupé en deux par une chaîne de montagne dont la partie Est, peuplé par les Estiens, se voit menacée par les peuplades de la partie Ouest, les Ouestiens.

     

    Les Ravens ont pendant de longues années arpenté Balaia en quête de batailles où vendre leurs talents. Ils sont connus et reconnus comme étant les meilleurs, grâce à leurs aptitudes, mais aussi grâce à leur code de l'honneur qui les place bien au dessus de simples meurtriers. Ces mercenaires féroces, invaincus, n'avaient que rarement connu de pertes, jusqu'au jour où ils furent embarqués par un mage de Xetesk dans une aventure improbable mêlée de fin du monde et de magie noire ...


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    L’histoire se déroule à notre époque, à la veille de l’élection présidentielle aux États-Unis qui va selon toute vraisemblance se jouer entre le sénateur Sexton en pleine montée dans les sondages grâce à sa campagne anti-Nasa, et le président actuel Herney en pleine chute à cause de sa campagne pro Nasa. Les opérations ratées accumulées par la Nasa offrent donc un tapis royal à Sexton.

    Une météorite contenant des preuves de vie extraterrestre est trouvée dans la banquise du cercle polaire, sur la plate-forme glaciaire Milne.

    Cette découverte donne l’occasion à Herney de faire basculer la balance par rapport à Sexton qui avait misé toute sa campagne sur les échecs de la Nasa. L’occasion semble trop belle pour le président : il décide alors d’envoyer quatre spécialistes mondialement connus pour vérifier l’authenticité de la météorite. Poussé secrètement par William Pickering, il décide d’envoyer la fille de son plus grand rival : Rachel Sexton.

    À leur arrivée dans l’Arctique, ils sont accueillis par l’administrateur de la Nasa, Lawrence Ekstrom, qui, à l’aide de ses experts, va leur prouver la véracité de la découverte. Mais, après la mort d’un des trois spécialistes, Rachel et Tolland vont commencer à douter de la nature réelle de cette météorite. Leurs soupçons vont rapidement être confirmés, lorsqu’ils vont être attaqués par la force Delta.

    Qui est derrière toute cette astucieuse machination? Le président Zach Herney, pour remporter les élections ? L’énigmatique William Pickering, qui veut empêcher Sexton d’accéder au pouvoir ? La redoutable Marjorie Tench, entièrement dévouée à la cause du Président en place ? Ou encore, Lawrence Ekstrom, l’administrateur de la Nasa, qui veut recrédibiliser son organisation en pleine débâcle ?

     

    Deception Point est un roman policier écrit par Dan Brown, qui a été publié aux États-Unis en novembre 2001, tandis que la version française est parue dans le courant du mois de février 2006, soit deux ans après la publication du Da Vinci Code.

    Livre de 575 pages, aux éditions JC Lattes.

    Il raconte une mystification autour d'une météorite tombée sur la terre qui comporte des signes d'une vie extra-terrestre.


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    La Bretagne


    L'Halloween est une fête folklorique traditionnelle à laquelle certains attribuent une lointaine origine celtique. Pendant la protohistoire celtique, existait une fête religieuse - Samain en Irlande, Samonios en Gaule –, qui se déroulait sous l’autorité des druides, pendant sept jours (le jour de Samain lui-même et trois jours avant et trois jours après). « C’est une fête de fermeture de l’année écoulée et d’ouverture de l’année à venir. Le temps de Samain est celui du Sid brièvement confondu avec celui de l'humanité. »

    La Bretagne

    C’est la période de possibles rencontres mythiques entre certains hommes et les dieux des Tuatha Dé Danann. La civilisation celtique (et la religion et les fêtes druidiques) a disparu d’Irlande au Ve siècle, avec l'évangélisation hagiographique de saint Patrick. La fête chrétienne de la Toussaint, à laquelle est adossée Halloween, n’a été instituée qu’au IXe siècle par le pape Grégoire IV. L’abondante littérature irlandaise médiévale, élaborée par les clercs entre le VIIIe et le XIIe, ne mentionne que la fête sacrée de Samain.

    La Bretagne

    L’étymologie appartient strictement à la langue anglaise, sans aucun rapport avec le gaélique ou toute autre langue celtique. Son nom actuel est une altération de All Hallow Even[4], qui signifie littéralement le soir de tous les saints du paradis, c'est-à-dire la veille de la fête chrétienne de la Toussaint (hallow est une forme archaïque du mot anglais holy qui signifie : saint, even est une forme usuelle qui a formé evening (soir)). L'orthographe Hallowe'en est encore parfois utilisé au Canada et au Royaume-Uni.

    La fête folklorique d’Halloween a été, pour finir, importée sur le continent nord-américain par les immigrants catholiques britanniques.


    La Bretagne


    À l’origine, le symbole d’Halloween était un navet contenant une bougie pour commémorer la légende de Jack-o'-lantern (Jack à la lanterne), condamné à errer éternellement dans l'obscurité entre l'enfer et le paradis en s'éclairant d'un tison posé dans un navet. Le navet fut progressivement remplacé par une citrouille, elle-même remplacée quelquefois par un potiron ou un autre légume : on le découpe pour y dessiner, en creux, un visage grimaçant, puis on place une bougie en son centre. Même s'il y a une tradition des Îles Britanniques consistant à sculpter une lanterne à partir d'un rutabaga, d'une betterave fourragère ou d'un navet, la pratique fut associé à l'Halloween en Amérique du Nord, où la citrouille était plus large et plus facile à sculpter.

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