• Amon Amarth Jomsviking

    Vous commencez à le savoir, j'adore le métal : death, black, mélodique, viking et j'en passe.

     

    Mon coup de cœur du moment est cet album : 

     

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    Dixième album du groupe mais le premier album concept des Suédois.

    L’histoire racontée ici se déroule durant la période des Jomsvikings, l’ordre légendaire des vikings mercenaires rencontré dans les sagas nordiques, et combattant dans toute l’Europe et le Moyen Orient.


    L’univers des Jomsviking sert de décor à l’histoire d’un jeune homme qui tombe amoureux d’une femme déjà promise au mariage. Entre temps, il tue accidentellement le bras droit du comte (« The first man I killed was the earl's right-hand man ») et doit s’enfuir, mais promet de se venger et de reconquérir la femme qu’il aime.

    C’est ainsi que commence tout en douceur l’album avec « First Kill ». Par conséquent, et comme le chanteJohan Hegg d’une voix surpuissante lors des refrains, il devient paria et hors la loi « I am an outcast - All alone - I'm a nomad without home ; I am an outlaw - I'm disowned - And I am no man's son ». L’accroche musicale se fait naturellement par ses accélérations, ses moments de retenue, de respiration, qui nous laissent en apesanteur et qui nous permettent de rempiler juste après, la corne remplie à nouveau à la main.

    La touche Amon Amarth, où la horde des guitaristes nous tranche à coup de riffs, se retrouve sur « On A Sea Of Blood » : c’est limpide comme l’eau des icebergs. La batterie aérienne pulse et donne le rythme à l’ouvrage.

    La devise des fameux Vikings de Jómsborg est à l’image de « One Against All » ou du mid-tempo « One Thousand Burning Arrows » : « Ne montrez aucun signe de peur, ne battez jamais en retraite, défendez vos frères ou le cas échéant, vengez-leur mort ». C’est en gros ce qu’on ressent sur chaque note de guitare, qu’on se plait déjà à fredonner, dressé à la proue de notre drakkar tout en découpant les têtes des ennemis à la chaîne.

     

    J'adore ce groupe, pour moi, il reflète assez bien ma façon de penser : vivre libre sans contraintes (ou presque). 

    J'adore particulièrement la chanson "A dream that cannot be" en duo avec Doro Pesch (malheureusement pas encore la vidéo)

     

    First kill

     

    Keyboard Warrior (ne pas énerver un viking...)

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    j'ai eu la chance de les voir une fois en concert lors du Hellfest 2012 et j'ai eu la chance de pouvoir les approcher de près et ainsi obtenir leurs autographes. Sous leur aspect un peu bourrin, ce sont de "gros bons nounours" super gentils, accessible et blagueurs. 


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