• Début mars j'ai décidé de changer de style vestimentaire, de faire du sport et un régime (ici)

    Voici mon 1er bilan :

    - Niveau vestimentaire : j'ai commencé à acheter des petites choses plus feminin et je pense bientôt pouvoir remettre des petites chaussures à la place de mes baskets ou docks.

    - Niveau régime : j'ai tenu jusqu'au 17 mars, s'en est suivi une petite baisse d'envie de suivre les menus mais je me suis reprise dès la fin du week-end. Je ne m'en veut pas car cela est inutile, je dois juste en tirer les conclusions, pourquoi j'ai craqué, m'autoriser de craquer aussi de temps en temps. L'important est que je me suis remise sur "le droit chemin"

    - Niveau sport : lorsque je ne faisait pas de sport avec mon application, j'ai essayé de compenser par de la marche (5km), divers travaux dans la maison (ménage de printemps) et le jardin (nettoyage de printemps).  En général un jour sur deux je fais quelque chose.

     

    Bilan

    j'ai perdu 3kg, en ai repris 1kg pour finalement le reperdre donc cela fait 3kg de perdu !

    Youpi ! Bon personnellement je ne vois pas encore de différence car j'en ai beaucoup à perdre mais je me sens moins fatiguée et j'ai l'impression de vraiment récupérer la nuit, j'ai retrouvé ma sensation de faim que j'avais perdue depuis longtemps et j'ai l'impression de "péter" la forme. 

    A continuer, je me motive, prochain bilan fin avril

     


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  • Printemps

    2017 Projet 52 photo 13


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  • La cathédrale St-Cyr Ste-Julitte

     

    VIe au XXIe siècle Classée Monument Historique en 1862   Dominant la butte, la cathédrale de Nevers se caractérise par ses deux absides, témoins de son histoire mouvementée. La cathédrale romane du XIe siècle, construite sur les fondations carolingiennes, en reprend le chœur tourné vers l'Ouest. Des incendies en 1211 et 1308 obligent à reconstruire une nef et un chœur orienté gothiques. L'édifice est complété au XVe siècle par les chapelles latérales de style gothique flamboyant et au XVIe siècle par la tour. Si le bombardement de juillet 1944 a causé d'importants dégâts, il a aussi permis de découvrir les vestiges du baptistère du VIe siècle. Enfin, l'installation de vitraux contemporains suscite toujours la controverse mais inscrit résolument la cathédrale de Nevers dans une perspective d'avenir.   Le baptistère Bâtiment indépendant de la cathédrale, le baptistère était destiné au baptême des adultes. Il possède en son centre une piscine baptismale avec un système d'adduction d'eau. Huit colonnes de marbre délimitaient un déambulatoire et supportaient une coupole revêtue de mosaïques. Deux portes permettaient d'y accéder, facilitant ainsi la communication avec les autres édifices du groupe épiscopal. L'évolution de la liturgie liée au baptême entraîna sa désaffectation puis sa disparition avec la construction de la cathédrale gothique.  

    La cathédrale St-Cyr Ste-Julitte  


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  • Palais Ducale, Nevers

    Considéré comme le premier des châteaux de la Loire, construit sur la butte qui domine le centre de la vieille ville, le Palais Ducal domine, en contrebas, de sa large façade renaissance encadrée de tourelles polygonales, la place de la République, vaste parc. Ce palais fut la résidence des comtes puis des ducs du Nivernais Au sous-sol, une exposition permanente présente, de manière extrêmement vivante, le passé ainsi que la vie contemporaine de Nevers, grâce à une muséographie d'avant-garde. Cet édifice fut construit pour Jean de Clamecy, Comte de Nevers, en lieu et place de son ancienne forteresse. Les deux grosses tours postérieures sont les plus anciennes, à savoir du xve siècle, car le château fut remanié au xvie siècle par la famille de Clèves en y adjoignant notamment le splendide escalier d'honneur qui prend place dans la tourelle centrale.

     

    Palais Ducale, Nevers

     

     

    Madame de Cossé-Brissac, héritière du dernier duc de Nevers, vend le château et ses dépendances à la Ville et au Département en 1810. L'édifice est alors partagé entre la mairie et le tribunal de justice jusqu'en 1850, date à laquelle la municipalité s'installe dans le nouvel hôtel de ville édifié par Paillard. La justice investit dès lors la totalité du bâtiment et le transforme. Ce ne sont pas les premières modifications mais, en 1850, elles sont plus radicales et plus profondes. La distribution originelle des salles ne pouvant satisfaire aux besoins de l'administration judiciaire, elle est entièrement transformée dans un esprit plus fonctionnel. La décoration des salles est nouvelle, de même que celle de la façade principale dont l'état fort dégradé n'aurait pu convenir à la respectabilité d'un palais de justice. Entièrement restaurée, proche de son état premier, cette façade recevait les sculptures imaginées par Jouffroy, quelque peu différentes de celles qui existaient auparavant. À la fin des années 1970, la Ville, soucieuse de récupérer et de restaurer un des plus beaux monuments historiques de Nevers, proposait le transfert du palais de justice dans l'ancien palais épiscopal. Un nouveau programme de restauration pouvait être lancé, conservant la distribution du xixe siècle mais ajoutant un escalier monumental en place des appartements de l'extrémité ouest et une nouvelle entrée latérale utilisant des matériaux contemporains qui se retrouvent associés dans l'ensemble du monument aux décorations antérieures.

     

    Palais Ducale, Nevers       Palais Ducale, Nevers

     

     

    Restauré sur ordre de Pierre Bérégovoy dans les années 1980, le palais abrite aujourd'hui l'hôtel de ville (dont le bureau du maire et la salle des conseils), une partie de l'office de tourisme, des salles d'expositions et de réception, ainsi qu'une exposition permanente sur l'histoire et les atouts de la ville (Formule 1, faïence, etc.)) ainsi qu'un aquarium de poissons ligériens. Des fouilles menées pendant la restauration (principalement en 1988) ont permis de découvrir de nombreuses pièces d'artillerie, dont l'une des plus belles, une pièce d'artillerie du xive siècle (« chambre à poudre de veuglaire »), reposant depuis au dépôt archéologique municipal de Nevers, est une pièce absolument unique en France. Le 4 mai 1993, c'est devant le Palais ducal que le président de la République, François Mitterrand, prononça l'éloge funèbre de Pierre Bérégovoy qui s'était suicidé le 1er mai, discours resté célèbre pour une phrase : « Toutes les explications du monde ne justifieront pas qu'on ait pu livrer aux chiens l'honneur d'un homme et finalement sa vie au prix d'un double manquement de ses accusateurs aux lois fondamentales de notre République : celles qui protègent la dignité et la liberté de chacun d'entre-nous » .  

     

    Pour plus d'informations, venez ici


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